Björk @ Nippon Budokan (19th Feb '08)
Traduction francaise suivra

C'est mardi soir à Tokyo, événement hors du commun, je quite le bureau à exactement six heures. Pas une seul minutes de temps supplémentaire pour moi aujourd'hui. “Osakini shiturei shimasu!” Comme à i'habitude, les écoliers et homme d'affaires en uniformes se mélangent dans le metro. La majorité d'entre eux sont en directions de la maison. Mais à ma sorti de la station de Kudanshita, c'est le chao total ou une foule de jeunes aux allures eclectiques se réunissent avec enthousiasme aux abord du Parc du Palais Impérial. Sur ma route vers le Nippon Budokan, je fais la course avec eux pour avaler un plat de yaki-soba accompagné d'une bière. Je suis un bon vingt minutes en avance alors je crois avoir le temps d'arrèter aux kiosques de T-shirt propmotionnels avant de rentrer à i'intérieur. Mais le Japon étant ce qu'il est, les lignes d'attentes sont déjà sans fin et je ne peux même pas m’approcher suffisament pour voir les articles. Peu importe, je garde mon argent dans mes poches et rentre sans detours à i'intérieur du fameux amphithéatre ou les Beatles on performés pour la première fois au Japon il y a plus de 40 ans. Ce soir, pour la cinquième partie de sa tournée pour i'album Volta, Björk est en ville.
Un fois à i'intérieur de i'aréna, je suis acceuili par une douce musique traditionnel d'Okinawa qui créer une atmosphère sympa dans i'attente de la charmante chanteuse Icelandaise. En plus de quelques ordinateurs portatifs, un ensemble de batteries, haut-parleurs et autres instruments de musique, le stage est déjà occupé par trois écrant plasma géant et surplombé par une série d'énorme bannières colorées aux motifs d'animaux. Réputé pour i'eccentricité de ses costumes, quand Björk finnalement apparait, elle porte une robe très chic aux allures un peu hippie avec bandeau assorti. Un pianiste, un bateur, deux artistes électronique ainsi qu'une section de cuivre entièrement feminine i'accompagne. Les joueuses de cuivre sont elles aussi originaire d'Islande et nommé avec humour “The Wonderbrass”. Elles sont habillées de costumes qui font écho à la robe arc-en-ciel de la chanteuse principale et un savant éclairage de néons et ultraviolet enrichi leur costumes colorés. Également sur la scène, je peux identifier Mark Bell, un musicien électonique connu sous le nom de LFO et collaborateur de longue date de Björk dérières i'un des ordinateurs.
Pour la première partie du spectacle, le rythme et i'intensité de la performance est plutôt calme et hypnotique. Les amateurs de longues date ont la chance d'entendre plusieurs morceaux des premiers albums tel que Hunter, Aurora, All is Full of Love ou Joga mélanges avec les morceaux de Volta comme Earth Intruders, Vertebrea By vertebrae et Wanderlust. Entre chaque pièces, Björk parle très peu mais prend souvent la peine de remercier la foule en alternant les “thank you” et “arigato” au plaisir de tous. Mais connaissant la passion et le goût musicaux variés de la chanteuse à la voie expressive, il est évident que ce n’est qu'une question de temps avant que cette introduction tranquile laisse place à des rythmes plus énergiques. Alors que les chansons ce succèdent, on peut observer le travail des deux artistes électroniques sur les écrants à plasma. Leur mains se promenent sur des Lemures tactilles sophisitqués à la Daft Punk et sur une Réactable ressemblant à un sonar. Ces appareils sont à la fine pointe de la téchnologie en matière de musique électronique et comme de fait, après quelques temps les rythmes se font plus rapides jusqu'au moment ou un laser vert donne le signal que la fête est bien commencée en dessinant une série de motifs abstraits. Alors que Björk et les Wonderbrass dansent frénétiquement sur Hyper-Ballad (mixer à mon grand plaisir avec quelque accord de Freak, excellent success de LFO) et Pluto, le spectacle culmine dans une tempète de conféties qui remplis entièrement le Budokan. Heureux de vivre cette expérience extraordinaire, tout le monde se lèvent pour applaudire les artistes qui quite maintenant la scène.
Après quelques minutes de repos, la diva est de retour sur scène avec les Wonderbrass autour d'elle. Elle débute le rappelle avec Oceania, la pièce d'ouverture des Jeux Olympic d'Athènes en 2004. Enfin, elle nous souhaite aux revoir en dédiant la dernière chanson Declare Independence au peuple du Kosovo qui vienne eux même de voter leur indépandance il y a trois jours
-- setlist --
Brennið þið Vitar / Earth Intruders / Hunter / Aurora / All Is Full of Love / Pagan Poetry / Unravel / Vertebrae By Vertebrae / Joga / Desired Constellation / Army of Me / I Miss You / 5 Years / Vokuro / Wanderlust / Hyper-Ballad / Pluto encore Oceania / Declare Independence
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report by seb and photos by izumikuma
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mag files : Björk
photo report : (08/02/25 @ Osaka Jo Hall) : photos by ikesan
Estrogenic : (08/02/22 @ Nippon Budokan) : review by jeff, photos by naoaki
photo report : (08/02/22 @ Nippon Budokan) : photos by naoaki
Traduction francaise suivra : (08/02/19 @ Nippon Budokan) : review by seb, photos by izumikuma
Diva in Town : (08/02/19 @ Nippon Budokan) : review by seb, photos by izumikuma
完璧とは何か? : (08/02/19 @ Nippon Budokan) : review by nob, photos by izumikuma
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Out Of This World : (08/02/16 @ Olympic Hall, Seoul) : review by shawn,photos by hanasan
ビョークがビョークである所以 : (07/06/22 @ Glastonbury Festival, Pilton) : review by kaori, photos by yusuke
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21世紀の発明家か : (01/12/02 @ meiwajyoshi university) : report by nishioka , photos by hanasan
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